• HEIVA I TAHITI
  • Hura Tapairu
  • Billetterie Spectacles

    • Don't miss new videos
      Sign in to see updates from your favourite channels

      Sign In  
  • 0

    • Vous n'êtes pas authentifié
      Connexion
Maison de la Culture de Tahiti - Te Fare Tauhiti Nui Maison de la Culture de Tahiti - Te Fare Tauhiti Nui Maison de la Culture de Tahiti - Te Fare Tauhiti Nui
  • Agenda
  • Evènements
    • Heiva Taure’a
    • Matari’i i raro
    • Ta’upiti Ana’e
    • Heiva i Tahiti
    • To’ata Night
    • Festival Parau Ti’amā
    • Ta’urua Hīmene
    • Hura Tapairu
    • 80 ans HENRI HIRO
      • PRESENTATION
      • Exposition : « HENRI HIRO, FOU OU VISIONNAIRE ? »
      • CLIP : Fāùna nui e
      • THÉÂTRE : I Tai
      • PODCAST
  • Médiathèque
    • Nouveau site
    • Abonnement à la médiathèque
  • Vidéos
    • Culture chez vous
    • Tahiti VOD
  • Éditions
    • Hiro’a
    • Les plus beaux chants du Heiva i Tahiti
    • Auteurs primé et héros légendaires du Heiva
  • LOCATION
    • Salle de spectacles
    • SALLES POLYVALENTES
    • Consignes de sécurité
  • TFTN
    • Appel d’offre
    • Archives
    • Historique
    • Horaires et contacts

    • Vous n'êtes pas authentifié
      Connexion  |  Créer mon compte
Home Actus Festivals/salons Produire du son et l’image c’est bien, conserver c’est indispensable

Produire du son et l’image c’est bien, conserver c’est indispensable

TFTN
8 février 2018

Voilà une problématique très récente : la conservation des médias et des lecteurs qui permettent d’en rendre connaissance. Dans un monde de production et d’évolution rapide des technologies, la question ne se pose pas. Ou plutôt ne se posait pas. Certains commencent à s’en soucier comme Joshua Harris, coordinateur du programme de conservation des média à l’université de l’Illinois aux États-Unis.

Les médias évoluent, les formats changent, les outils de lecture d’aujourd’hui ne sont plus les mêmes que ceux d’hier. Dans ce contexte une question se pose : les productions d’aujourd’hui seront-elles toujours accessibles demain ? Si oui, que conserver, pourquoi le conserver, comment le conserver ?

Toutes ces questions, Joshua Harris,  coordinateur du programme de conservation des médias à l’université de l’Illinois aux États-Unis, se les est posées, il les a évoquées dans une conférence donnée sous le chapiteau de la Maison de la Culture mardi matin et encourage tous ceux et toutes celles qui possèdent des productions (groupes télévisés, institut, boîte de production, particuliers) et souhaitent les garder à se les poser.

« Beaucoup de gens pensent que le processus de production d’un film par exemple consiste à enregistrer du son et des images, à mettre tout cela dans une boîte. Mais cela va bien au-delà, il faut penser ensuite à l’endroit où l’on va les garder, au format et aux outils de lecture disponibles. » À ce propos, dans le public, Bertie Frogier s’interroge. Il a des films en super 8 avec des données personnelles laissées par un grand-père mais aussi des séquences d’intérêt général. Il n’a plus rien pour les lire, ni chez lui ni chez ses amis ou sa famille.

Une action coûteuse et chronophage

Pour l’instant, en Polynésie, la solution est de les envoyer en Nouvelle-Zélande : la lecture et la numérisation (qui reste l’un des meilleurs moyens de conservation) y sont possibles, mais cela a un coût. « Comme partout », souligne Joshua Harris. « Aussi, quand on numérise les productions il faut prioriser car nous n’avons ni le temps ni les moyens de tout sauver. » Il donne là l’exemple du stock de médias de son université. « Nous avons recensé 400 000 éléments sur le campus. Nous avons numérisé 1% de ces éléments. Sachant qu’il nous faut 1h30 de travail pour numériser une heure de contenu, il nous faudrait 85 ans à temps plein pour venir à bout de nos éléments. »

La problématique de la conservation a vu le jour récemment. « Il y a encore dix ans, on n’y pensait pas trop », se rappelle Joshua Harris. Pourtant les menaces sont nombreuses : humidité, température, variation des paramètres, moisissures, insectes, saletés, poussière, inondations… Elles pèsent aux quatre coins de la planète. Pour répondre aux inquiétudes d’une personne du public dont les films sont stockés dans un grenier, Joshua Harris a insisté sur la stabilité des paramètres. « Pour l’humidité il y a des produits basiques de déshumidification comme  le riz. Ensuite, les films doivent être enroulés dans sacs plastiques et placés dans des bacs. »

 

FIFO / Delphine Barrais

Previous Post
OLYMPUS DIGITAL CAMERA

Un public curieux, ému, ouvert

Next Post
Atelier réalité virtuelle (1)

Réalité virtuelle, le champ de tous les possibles

La Maison de la Culture

Boulevard Pomare IV
Front de Mer
98713 Papeete

HORAIRES ET CONTACTS
  • Facebook
  • Instagram
  • TikTok

Traitement en cours…
Terminé ! Vous figurez dans la liste.
Oups ! Une erreur s’est produite. Nous n’avons pas pu traiter votre abonnement. Rechargez la page et réessayez.
Copyright © 2025 La Maison de la Culture - Te Fare Tauhiti Nui Mentions Légales - Horaires et Contact

    • Don't miss new videos
      Sign in to see updates from your favourite channels

      Sign In  
  • 0

    • Vous n'êtes pas authentifié
      Connexion
  • Agenda
  • Evènements
    • Heiva Taure’a
    • Matari’i i raro
    • Ta’upiti Ana’e
    • Heiva i Tahiti
    • To’ata Night
    • Festival Parau Ti’amā
    • Ta’urua Hīmene
    • Hura Tapairu
    • 80 ans HENRI HIRO
      • PRESENTATION
      • Exposition : « HENRI HIRO, FOU OU VISIONNAIRE ? »
      • CLIP : Fāùna nui e
      • THÉÂTRE : I Tai
      • PODCAST
  • Médiathèque
    • Nouveau site
    • Abonnement à la médiathèque
  • Vidéos
    • Culture chez vous
    • Tahiti VOD
  • Éditions
    • Hiro’a
    • Les plus beaux chants du Heiva i Tahiti
    • Auteurs primé et héros légendaires du Heiva
  • LOCATION
    • Salle de spectacles
    • SALLES POLYVALENTES
    • Consignes de sécurité
  • TFTN
    • Appel d’offre
    • Archives
    • Historique
    • Horaires et contacts
  • HEIVA I TAHITI
  • Hura Tapairu
  • Billetterie Spectacles
    X